A partir du 8 décembre 2015, le marché de l’art en ligne accueille un nouvel acteur incontournable : ArtJaws.
Créé par Art2M, start-up fondée par Anne-Cécile Worms (également à l’origine du Magazine des Cultures Digitales) et Anne & Julien, fondateurs de la revue d’art HEY! modern art & pop culture, ArtJaws est une plateforme de vente en ligne et un éditeur de contenus exclusifs pour les artistes emblématiques de la pop culture et du numérique.
Original dans son approche et son contenu, ArtJaws réunit ainsi pour la première fois deux pans incontournables de l’art contemporain : l’art numérique et l’art outsider pop.
ARTJAWS UNE PLACE DE MARCHÉ EN LIGNE POUR LA NOUVELLE VAGUE DE L’ART
Pour la première fois au monde, une plateforme de vente d’art en ligne va réunir deux pans incontournables de l’art contemporain : l’art digital et l’art outsider pop.
ArtJaws est une nouvelle place de marché originale dans son approche et son contenu, destinée à offrir aux acheteurs un accès direct à des œuvres et des artistes emblématiques de la pop culture et des arts numériques.
Bien plus qu’un simple catalogue d’oeuvres, ArtJaws met en relation les artistes, collectionneurs et amateurs d’art grâce à l’expérience et les réseaux de ses fondateurs, figures majeures de leur domaine respectif.
Plateforme de vente en ligne et éditeur d’œuvres exclusives, ArtJaws naît ainsi de l’association d’Anne & Julien, fondateurs de la revue HEY ! modern art & pop culture spécialisée dans le domaine de l’outsider pop, et de la start-up Art2M, spécialisée en art numérique.
Disponible en français et en anglais dès son lancement, le site prévoit dès 2016 des versions en chinois et en arabe.
ARTJAWS, UNE IDENTITÉ MORDANTE
Pourquoi ArtJaws ?
« JAWS » fait surgir l’image des dents de requins du film de Spielberg, évoque un appétit de développement à pleines dents.
Jaws est aussi le nom du célèbre spot de surf situé à Hawaï où les vagues semblables à des mâchoires peuvent atteindre la taille de 25 mètres.
UN CARREFOUR POUR L’ART DU 21e SIÈCLE
Anne & Julien, commissaires d’exposition, auteurs, performeurs, fondateurs de la revue d’art HEY! modern art & pop culture en 2010 défendent et expliquent les cultures en marge depuis 30 ans.
De son côté, Anne-Cécile Worms, fondatrice dirigeante de la société Art2M et du Magazine des Cultures Digitales (MCD), explore les territoires de la création numérique depuis plus de 20 ans, et incarne une figure incontournable en France et à l’international dans ce domaine.
Ils joignent leurs expériences et leurs réseaux internationaux pour la reconnaissance de territoires, hier dans l’ombre, aujourd’hui porteurs de sens et d’avenir.
Plateforme communautaire, ArtJaws cultive un lien permanent avec ses utilisateurs au travers de nombreuses fonctions exclusives.
Ainsi, un « Club ArtJaws » permettra à ses membres d’être conviés à des événements privés, de bénéficier d’offres spéciales, de rencontrer des artistes, de commander des œuvres personnalisées ou encore de proposer ou soutenir des projets spéciaux.
DES UNIVERS ARTISTIQUES SOUS-REPRÉSENTÉS DANS LE MARCHÉ DE L’ART
Pour ArtJaws, le constat est clair. L’art numérique et l’art outsider pop constituent, pour des raisons différentes, une énorme planète artistique encore à découvrir.
Avant-gardistes par nature, ces deux territoires artistiques ont déjà écrit une histoire forte pavée de grandes œuvres et de personnalités, de pensées et d’esthétiques singulières.
L’art numérique a explosé avec le développement d’Internet, et l’art outsider pop rassemble des territoires artistiques déjà solidement définis, reconnus depuis plusieurs décennies.
Les raisons de cette sous-représentation sont multiples et spécifiques à chaque territoire.
« Nous défendons depuis 30 ans des artistes sous-représentés qui relèvent de deux catégories : des artistes que la moitié du monde collectionne, des stars outre-Atlantique comme Don Ed Hardy, mais que le marché de l’art ne comprend pas, et des artistes hors normes dont la production échappe à toute catégories, comme om deVita. Ces artistes ont créé des langages au carrefour de l’intelligence populaire et de la connaissance, avec une grande maîtrise technique.
Pour la plupart, ils sont méconnus du monde latin qui, ignorant les fondements des subcultures dont ils sont issus, ne sait comment les regarder. » Anne & Julien
« Le caractère volatile et la technologie effraient les collectionneurs car le support, la nature même de l’art numérique bouscule les données classiques de la conservation.
Les œuvres sont créées – selon et avec – des technologies appelées à devenir obsolètes, à plus ou moins long terme, en raison de leur évolution rapide.
Il est donc essentiel de prendre en compte la partition de l’artiste, la possibilité de transposer l’œuvre sur d’autres supports.
A ce titre, nous travaillons en partenariat avec des chercheurs sur la conservation et la préservation de l’art numérique, notamment en France avec l’équipe de PAMAL.
Par ailleurs, l’interaction homme-machine qui fait la spécificité de l’art numérique, trouble la notion classique de l’artiste.
Qui est l’artiste : le concepteur ou le développeur/ingénieur ? La production numérique a recours parfois à des algorithmes complexes, produits par des codeurs au service des créateurs.
Le développement exponentiel de ce territoire artistique finira par avoir raison des soupçons de légitimité artistique et des réticences du marché. » Anne-Cécile Worms
UNE VOCATION D’ART ADVISOR
ArtJaws ne se limite pas à une simple plateforme de vente en ligne.
Conscients de la nécessité de réaliser un vrai travail pédagogique, les fondateurs d’ArtJaws, experts dans leurs domaines respectifs, poursuivent sur ArtJaws le travail de valorisation et de découverte mené tout au long de leurs carrières.
La démarche de commissariat de collections temporaires participe de cette volonté d’accompagner les collectionneurs.
La mission de défrichage effectuée par les commissaires de la plateforme ArtJaws permettra aux collectionneurs et investisseurs de se positionner rapidement sur des courants et des artistes méconnus dans le marché actuel de l’art contemporain.
Au-delà de l’expérience et de l’expertise les commissaires d’ArtJaws disposent de l’indépendance nécessaire vis-à-vis des artistes et des galeristes pour effectuer les missions de conseils en acquisition.
Chaque artiste présent dans les collections fera également l’objet d’une présentation : biographies courtes rédigées avec soin et descriptif des œuvres afin de donner des clefs, des pistes permettant de mieux appréhender le parcours et les œuvres des artistes.
A terme, ArtJaws entend créer, par adhésion, un véritable réseau d’amateurs et de collectionneurs avec des offres ciblées : accès direct aux commissaires, conseils d’achat, visites guidées d’expositions et d’ateliers d’artistes, voyages organisés lors des foires et temps forts de l’art contemporain à l’international.
ARTJAWS : TROIS COLLECTIONS PAR AN ET DES SÉRIES LIMITÉES EXLUSIVES
En faisant le pari d’être 100% connecté au présent grâce aux infinies possibilités fournies par le numérique, ArtJaws invite le collectionneur confirmé ou en devenir à partager une vision de la vente d’art neuve et dynamique.
Avec 3 collections temporaires par an et une permanente, ArtJaws présente une très grande diversité d’œuvres originales et de séries limitées exclusives.
LA COLLECTION PERMANENTE
Tout au long de l’année, la collection permanente accueillera une sélection d’œuvres inédites en France.
Célébrant le geste autodidacte autant que celui issu d’un art savant, Anne & Julien soutiennent les œuvres d’initiateurs et de visionnaires souvent ignorés par le classicisme du marché.
L’art numérique est quant à lui l’expression d’une génération dont le digital est devenu une quête et le moyen d’y accéder.
Comme les artistes issus de l’art outsider pop, cette génération dédiée à l’exploration des possibilités numériques s’est elle aussi emparé de son environnement et l’a distillé pour créer, en marge, et sans suivre les présupposés de l’art académique.
© Ed Hardy
LES COLLECTIONS TEMPORAIRES
Avec ses trois collections temporaires d’une durée de 4 mois par an, ArtJaws s’affiche comme un défricheur de tendances prêt à s’inscrire durablement dans le temps.
En fonction de leur courant et de leur mouvement, les représentants les plus intéressants d’un domaine ou d’un genre sont réunis le temps d’une collection.
Les fondateurs du site ont construit chacun de leur côté un réseau international d’artistes reconnus ou en devenir, en prenant soin de tisser des liens privilégiés, de sorte que la plupart des artistes présentés dans les collections de la plateforme ont été repérés ou exposés par les fondateurs et commissaires d’ArtJaws.
ArtJaws épouse la rapidité inhérente à Internet.
Les collections temporaires mise en ligne sont appelées à vivre, à s’enrichir durant les 4 mois de leur présentation.
Au-delà, se mettra progressivement en place une collection permanente.
Un travail sur la durée : « ll faut environ quatre ans pour faire connaître un artiste et 10 ans pour l’installer. La collection permanente permettra de suivre la production d’un artiste et de contribuer à son développement « , précisent Anne & Julien.
LES DEUX PREMIÈRES COLLECTIONS TEMPORAIRES ARTJAWS
© Bob Roberts
LE TATOUAGE CONTEMPORAIN ET LE CORPS AUGMENTÉ EN ART NUMÉRIQUE
Pour le lancement d’ArtJaws les collections temporaires seront en résonance directe avec les problématiques des fondateurs de la plateforme : le tatouage actuel avec en regard, pour l’art numérique, la thématique du corps.
Dès le premier trimestre d’activité environ 500 œuvres seront mises en vente : 300 œuvres d’une cinquantaine d’artistes tatoueurs, et 200 œuvres d’art numérique produites par 40 artistes.
© Pia Myrvold
LE TATOUAGE CONTEMPORAIN
Cette première collection réunit toutes les générations de tatoueurs depuis 1960 : des maîtres américains reconnus comme Don Ed Hardy et les représentants de la scène européenne comme Filip Leu.
Au total 300 œuvres, pour certaines créées en exclusivité pour ArtJaws, et une grande diversité de support : dessins à la mine de plomb, peintures acryliques, aquarelles, photographies, objets tatoués.
La seconde collection temporaire dont le lancement est prévue en février 2016 sera consacrée au surréalisme pop.
« Nous souhaitons asseoir le tatouage sur des valeurs justes, à un moment où le marché de l’art contemporain – prompt à vampiriser tout ce qui lui semble à la mode – cherche à s’en emparer, sans connaissance de son histoire artistique, de son essence.
Ce qui sous-tend le tatouage est entre autres la création d’une iconographie désormais classique.
Les tatoueurs sont également des dessinateurs, voire des artistes-peintres.
Cette première collection temporaire poursuit notre travail entamé au musée du quai Branly.
Nous souhaitons ouvrir le marché de l’art contemporain à des artistes dont la plupart ne sont connus que des tatoués ; les grandes collections du tatouage appartiennent aux tatoueurs.
Nous initions une plateforme de reconnaissance… ce qui a manqué au Graffiti dès 1992. » Anne & Julien
Anne & Julien défendent le statut artistique du tatouage depuis deux décennies, leur connaissance de cet univers leur a valu d’être sollicités par le musée du quai Branly en tant que commissaires de l’exposition « Tatoueurs, tatoués » en 2015.
Conçue pour positionner avec justesse l’art du tatouage et son histoire, au moment où il fait l’objet d’une forte visibilité, l’exposition a connu une affluence record, avec près de 800 000 visiteurs, et est d’ores et déjà programmée au Royal Ontario Museum de Toronto.
Au-delà du succès public, elle a été saluée par les artistes tatoueurs comme une démarche essentielle à la connaissance et la reconnaissance de leur art.
Elle a notamment permis de présenter une trentaine d’œuvres originales de tatoueurs contemporains internationaux, spécialement créées à cette occasion.
© Christophe Bruno
LES ARTS NUMÉRIQUES
« Pour notre première collection temporaire, nous avons sélectionné à la fois des artistes reconnus et des artistes émergents, afin d’accompagner leurs tous premiers pas dans le marché de l’art, contribuant ainsi à l’élaboration de leur cote.
Nous avons privilégié dans un premier temps les créateurs français dont nous apprécions le regard critique sur les nouvelles technologies, le décalage souvent humoristique qu’accompagne une vraie réflexion sur notre identité numérique.
Epousant les possibilités offertes par la technologie, depuis l’art vidéo, ancêtre de ce nouveau langage, l’art numérique recouvre des domaines multiples et n’est pas uniquement immatériel : art robotique, art génératif, art interactif, art immersif, réalité augmentée, stéréolithographie, post-Internet…
La plupart des artistes de ce vaste territoire expérimentent, combinent différents types de média et audelà de la complexité technique de leur démarche, ils matérialisent la complexité de nos nouveaux rapports au monde. » Anne-Cécile Worms
Toutes ces facettes sont présentes dans la première collection thématique mais aussi dans la collection permanente avec les pionniers comme Catherine Ikam ou Maurice Benayoun, Juan Le Parc, Eduardo Kac… aux côtés de la nouvelle génération : Christophe Bruno, Art Orienté Objet, Magali Daniaux & Cédric Pigot, Pia MYvorLd, Herman Kolgen, Bertrand Planes, France Cadet ou Albertine Meunier, dont les objets concrétisent avec humour d’inattendues connexions par les réseaux sociaux.
© Pia Myrvold
DES ÉDITIONS UNIQUES LABELLISÉES ARTJAWS GRÂCE AU CROWDFUNDING : LES ARTJAWS COLLECTORS
ArtJaws fait directement appel à ses utilisateurs pour proposer des séries limitées exclusives : les « ArtJaws Collectors ».
Objets rares conçus par les artistes spécialement et exclusivement pour les collectionneurs du site ArtJaws, ces œuvres sont sélectionnées et validées par les commissaires de la plateforme ArtJaws.
Les internautes sont invités à acheter/financer à des prix très attractifs ces créations originales grâce à une fonctionnalité intégrée de financement participatif (crowdfunding), ArtFunding.
Bien qu’en très forte expansion, le crowdfunding reste encore largement réservé aux grandes plateformes dédiées.
Avec cette fonctionnalité maison, ArtJaws permettra de proposer un catalogue accessible à tous les profils de collectionneurs, en s’adaptant aux plus près des envies, des profils et des budgets de ses utilisateurs.
LES PREMIERS ARTJAWS COLLECTORS
Sur le principe de l’Art Funding (crowdfunding appliqué à l’art), seront mis en vente sur le site des objets inédits estampillés « ArtJaws Collectors ».
Quatre oeuvres et/ou prototypes d’artistes accompagnent la phase de lancement du site ArtJaws, d’autres projets viendront enrichir cette offre inédite.
– Le « Modulotron » de La Boucherie Moderne : coffret de tampons de tatouage permettant de réaliser des créations à partir d’un assemblages de motifs différents, représentatifs de l’univers graphique de La Boucherie Moderne, studio historique du tatouage contemporain en Europe.
– Le coffret « Hommage aux icones du tatouage » : 10 tirages fine art issus de la série historique de Titine K-Leu, artiste suisse membre d’une des plus grandes familles du tatouage, la famille Leu.
Les tirages, choisis par l’artiste, sont réunis dans un coffret augmenté, signé et numéroté.
– Les « Doguinous Likos » d’Albertine Meunier : objet qui fut un temps populaire, ce chien qui hochait la tête sur les plages arrière des voitures, devient le messager connecté de signes d’amour.
Sur le principe de l’art connecté, lorsque l’utilisateur dit « je t’aime » depuis son téléphone, ou son ordinateur, le « doguinou » connecté acquiesse où qu’il soit dans le monde.
– Le Picture Disk : un disque vinyle imprimé, à la fois objet graphique et sonore, fruit d’une collaboration avec un artiste et dont la sélection musicale est en phase avec son univers graphique.
Le catalogue d’œuvres proposées en crowdfunfing devrait rapidement être enrichi et constituera à moyen terme une des principales fonctionnalités du site.
ARTJAWS : LES FONDATEURS
ANNE-CECILE WORMS
Anne-Cécile Worms, fondatrice et dirigeante de la société Art2M, explore les territoires de la création numérique depuis plus de 20 ans, et en est devenue une figure incontournable en France et à l’international.
Son savoir-faire s’appuie sur un réseau international d’artistes, designers et ingénieurs, pour créer des installations et des événements liés à l’art et aux nouvelles technologies.
« Serial entrepreneure » dans le domaine de l’innovation et de la culture, diplômée de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, Anne-Cécile Worms a cofondé sa première startup en 1999, spécialisée dans le téléchargement sur Internet de musiques électroniques.
Editrice et journaliste, elle publie depuis 2003 le Magazine des Cultures Digitales, avec des numéros thématiques dont Art/Industrie, La conjuration des drônes, Les nouveaux récits du climat… des guides et livres comme » Art et Culture(s) Numérique(s), panorama international » .
Elle est notamment experte en arts numériques pour l’Institut Français.
En 2009 elle fonde Art2M (Art To Machine), une jeune entreprise innovante (J.E.I) spécialisée dans la production et la diffusion d’œuvres d’art numérique exclusives ou sur-mesure et de design innovant.
Art2M place les cultures digitales au cœur de son processus de réflexion, pour proposer à ses clients (agences de communication, institutions, entreprises et organisations privées) une communication de marque innovante et des événements toujours plus connectés.
Depuis 2014, Art2M produit « Variation, Media Art fair » en partenariat avec la galerie Vanessa Quang, la première exposition-vente dédiée au marché de l’art contemporain nouveaux médias en France et qui présente chaque année une sélection de plus 50 artistes internationaux, invités par Dominique Moulon, commissaire d’exposition.
L’édition 2015, qui s’est tenue du 19 au 26 octobre, à la Halle des Blancs Manteaux (Paris 4ème), a accueilli plus de 14 000 visiteurs et généré cette année encore de nombreuses ventes.
Anne-Cécile Worms dirige le média Makery, le média de tous les labs, reconnu comme organisme de presse en ligne, qu’elle a fondé et lancé en juin 2014.
ANNE & JULIEN
Anne & Julien travaillent en binôme.
Créateurs et rédacteurs en chef de la revue d’art HEY! modern art & pop culture, auteurs, commissaires d’exposition ou encore artistes/ metteurs en scène, ils œuvrent dans les milieux musicaux et ceux de l’image depuis 1986, analysant les subcultures qui les passionnent.
En 1986, ils créent une structure nomade, L’Hydre de l’Art, puis en 1990 la galerie d’art du même nom qui présente sur un même plan pochoir, graffiti, bande dessinée, figuration libre, outsider arts.
Pendant 15 ans, le duo se consacre au journalisme, pour la presse, la télévision (8 documentaires à leur actif ), la radio et signe une dizaine de livres autour de la musique et de la bande dessinée. En 2010, Anne & Julien fondent la revue HEY! modern art & pop culture, et en transposent les pages sur scène avec HEY! La Cie.
Après avoir été à l’origine de l’exposition Moebius/Miyazaki au musée de la Monnaie (Paris), ils s’installent à la Halle Saint Pierre pour signer le commissariat des 2 premières expositions collectives HEY! modern art & pop culture réunissant chacune une soixantaine d’artistes internationaux.
Le succès critique et public de ces événements les amènent au musée du quai Branly pour assurer le commissariat de l’exposition Tatoueurs, Tatoués, une première mondiale sur le tatouage, alors que leur troupe HEY! La Cie donne sept spectacles sur l’histoire du tatouage (Notes d’Encre) au théâtre Claude Lévi-Strauss (musée du quai Branly).
Ils publient également à quatre mains un livre d’auteur aux Éditions Rackham (Les Mondes promis).
A l’automne 2015, HEY! La Cie a été sur scène au Cirque Electrique pour le spectacle On a volé le bras de Constentenus, suivi de la troisième édition du festival HEY!.
Anne & Julien sont également commissaires de l’exposition HEY! modern art & pop culture / Act III à la Halle Saint Pierre jusqu’au 13 mars 2016.