Renata Andrade – Université de Lille, département Arts plastiques – Tourcoing Diplômée à la fois en arts scéniques et en arts visuels, Renata Andrade, actuellement en master Arts à l’université de Lille, est une artiste qui refuse d’entrer dans le cadre. Rejetant les catégorisations, son travail cherche à mettre en lumière les frontières informelles et leurs zones de troubles. A la fois artiste et actrice, brésilienne et française, blanche et noire, ses performances dans l’espace public font sortir l’art de son cadre formel et interrogent nos comportements sociaux. Dans Interface, la performeuse, qui a grandi dans les banlieues populaires de São Paulo, joue avec la frontière entre l’artiste et le spectateur. En invitant les passants à réaliser l’œuvre avec elle, elle fait bouger les codes, l’un se nourrissant de l’autre. Lace travail en timelapse brise aussi les fronctaièprteastitornadietionnelles entre la performance, la photographie et la vidéo et pousse le spectateur vers une autre perception de la réalité. Un intérêt pour le médium photographique, une Licence en Arts Plastiques et un Master en Arts plastiques et Visuels permettent à Jordan Boubert d’aller au-delà du croquis préparatoire et de mettre en image ses idées. La mise en scène du corps est étudiée de sorte à lier théâtralité et chorégraphie. Cette série est un ensemble de photographies où différents espaces naturels et délaissés de toute vie collabore avec le corps humain. Le retrait, l’abandon du corps ou même le mystère sont ce qui qualifie au mieux les intentions photographiques de Jordan
Joe Delcrout & Félicia Laude – Université de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis Par la réalité d’un instantané photographique, les artistes cherchent à révéler une histoire fantastique, voire horrifique, liée à des faits historiques. Ceux-ci peuvent être rattachés au monde de la magie ou de la sorcellerie, avec ici les bûchers de Salem, qui punissaient les femmes accusées de sorcellerie. Cette part d’histoire ouvre une brèche sur les mythes, elle nous fait accéder à un monde magique en faisant apparaître une quatrième dimension dans notre réalité.
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L’artiste soumet ensuite ces images à l’intelligence artificielle de la technologie. Ainsi, en faisant bugger une machine qui scanne en 3D, Hadrien obtient des objets symbolisant l’échec mais qui donnent vie à des sculptures extraordinaires. Hadrien Téqui a reçu le prix Studio Collector 2018 à la Cité Internationale des Arts à Paris. Alizée Ségard Sélectionnée pour la prochaine exposition 2019 de la Cité Internationale de la dentelle et de la mode à Calais, Alizée Ségard s’est illustrée en 2018 lors de la foire. Dans ces œuvres, les plis, nervures ou sillons, convoquent les sens et appellent à un rapport de proximité afin de les appréhender, de les apprivoiser. L’impression qui évolue à la frontière de ces perceptions qui se recouvrent en un mince affleurement, constitue le point de départ de la recherche de cette artiste qui nous fait entrapercevoir un pan de la sensibilité qui lui est propre tout en nous permettant d’y projeter nos propres intériorités. Informations pratiques Jeudi 28 février 2019 de 11h à 23h Vendredi 1er mars 2019 de 11h à 20h Samedi 02 mars 2019 de 10h à 20h Dimanche 03 ndndndndn février 2019 de 10h à 20h Tarif normal : 9€ – revisite offerte |
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