Fluctuart, Vini, Vidi, Vinci : nouvelle exposition temporaire du 7/11/19 au 19/04/20
L’art urbain face au génie, nouvelle exposition temporaire de Fluctuart
À l’occasion des 500 ans de la disparition de Léonard de Vinci et de l’exposition majeure qui lui est consacrée au Louvre, 20 artistes internationaux issus de l’art urbain lui rendent hommage dans le premier centre d’art urbain en France, Fluctuart.
De Florence à Milan, du Château d’Amboise au Louvre jusqu’au Palais de Buckingham et partout en Europe, les hommages au maître se succèdent.
À travers une exposition inédite, Fluctuart propose de redécouvrir Léonard de Vinci, l’homme d’esprit, à la fois artiste, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste et peintre à travers le regard de 20 artistes internationaux issus de l’art urbain.
Entre installations in situ, prêts et commandes, les artistes prennent possession des lieux à travers différentes techniques : installations monumentales, peinture, pochoir, collages…
Un line up exceptionnel, dont sept artistes femmes, a été réuni à cette occasion :
ANDREA RAVO MATTONI • BLUB • BOM.K • CLET • FAITH 47 JULIO ANAYA CABANDING • LEK & SOWAT • LOGAN HICKS • MADAME NICK WALKER • OKUDA • OZMO • PANG • SPEEDY GRAPHITO SWO O N • SY LVAIN RI STO RI • VL P • Y Z • ZEVS • 13 BI S
Une occasion exceptionnelle pour le visiteur de redécouvrir les grands thèmes du maître à travers 4 sections : La pensée en mouvement – Le chef-d’œuvre iconique – L’homme au centre de l’univers – La question du mur.
Une exposition en parallèle de la rétrospective Léonard de Vinci au Louvre
Une exposition qui fera écho à l’exposition exceptionnelle de Léonard de Vinci au Louvre du 24 octobre 2019 au 24 février 202 réunissant plus de 120 œuvres.
« À l’occasion des 500 ans de la mort de Léonard de Vinci en France, le musée du Louvre conçoit et organise une grande rétrospective consacrée à l’ensemble de sa carrière de peintre.
L’exposition entend montrer combien Léonard a placé la peinture au-dessus de toute activité, et la manière dont son enquête sur le monde – il l’appelait « science de la peinture » – fut l’instrument d’un art, dont l’ambition n’était autre que de donner la vie à ses tableaux. »