Des clichés de reflets d’eau pris au Bois de Vincennes sont à l’origine de ce travail sur la couleur, ici en regard aux recherches formelles d’aspect fugace de la sculpture. S’y confrontent divers aspects de territoires : par strates, transparences et répartitions pour les photos et les dessins, de façon organique et fluide en sculpture.
Des pastels, comme un repérage sur l’usage des tons, sorte de cartographie de la couleur en quête d’une spatialité organique.
Des sculptures qui se présentent en tant qu’univers physiologiques constitués d’éléments qui mêlent dans leurs interactions, divers stades de croissance, comme si devait se résumer en chacune d’elles toute une part de la vie d’un “corps utopique”.
Au travers de photos, certains aspects des mondes combinés de l’air, de la terre et de l’eau, que les reflets de sa surface rendent appréhendables. Aspects qui traduisent ce qui par observation, rend sensible une confrontation de territoires, par strates et par transparences, où, selon les cas, des manifestations chromatiques, spatiales et formelles se neutralisent, s’associent ou s’exacerbent.
Comme les pastels et les sculptures, elles s’inscrivent au sein d’une temporalité imaginaire.
Du 4 au 28 mars 2015,
du mardi au samedi : 9h30 > 19h30
dimanche : 10h30 > 13h00
Photos et sculptures sont visibles sur : http://jmt-94.blogspot.fr /
Les pastels sur : http://jeanmarctrimouille.wix.com/jeanmarctrimouille